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quelques clés pour vaincre le rejet

par mathilde

publié dans anciens écrits

Jeudi 5 avril 2007

Quelques clés pour vaincre le rejet

(complément de l'article système et rejet)

 

 

 

Bonne nouvelle ! pour vaincre non la société (voir article  système et rejet et  Témoignage sur le rejet) mais la racine du mal = le rejet, il existe une vraie solution :

 

 

 

      Connaître Jésus !

 

 

 

 

 

 

Bon, dit comme cela, c’est peut-être choquant pour toi ! Mais c’est LA solution. J’explique :

 

 

 

      L’évangile (= bonne nouvelle) donne des clés et des solutions pratiques pour déraciner le sentiment de rejet :

o       « Venez à moi vous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11 :28). Jésus promet de ne pas nous abandonner : « Je serai tous les jours avec vous jusqu’à la fin du monde » (Matthieu 28 :20).

o       Le texte prophétique d’Esaïe 53, décrivant Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu nous décrit un Jésus compatissant (= qui souffre avec nous) :

 

 

 

Esaïe 53

Type de réaction

solution

Nous étions tous errants comme des brebis. Chacun suivait sa propre voie

 

 

Les trois réactions nous font être victimes des circonstances et des gens. La stratégie n’est valable qu’à cours terme et nous fait naviguer sans boussole

 

 

Jésus dit : Dépose ton fardeau et laisse-moi guider ta vie. J’ai un plan pour changer les circonstances et ton cœur

 

 

 Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage (…)

Rejeté, souffrant, incompris,

Jésus a vécu cela aussi !

Il a été maltraité et opprimé, il n’a pas ouvert la bouche. Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie

 

 

 

 

 

Il connaît les circonstances qui mènent au découragement dû au rejet et l’a vécu personnellement à très grande échelle

 

 

Pourquoi ne pas se confier et ouvrir son cœur à Celui qui a souffert et qui a vaincu la mort ?

 

 

Ce sont nos souffrances qu’il a porté, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé (…)

 

 

 

Il a vécu NOS souffrances et connaît ce que c’est que de souffrir du rejet. Il dit : Je souffre avec toi et je te libère du poids du rejet

Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.

Vaincre le rejet par une réaction défensive ne guérit pas. On cache le rejet, on le déplace et nos actions appellent un sentiment de culpabilité

Jésus dit : Je prends tes réactions défensives et leurs conséquences sur moi ET j’efface l’ardoise en te guérissant

Parce qu’Il s’est livré lui-même à la mort et qu’Il a été mis au nombre des malfaiteurs, parce qu’Il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et qu’Il a intercédé pour les coupables

Il a vécu l’injustice jusqu’à en mourir. Mais non seulement mourir pour la justice, mais pour les hommes et qui plus est coupables

On peut, avec Jésus, apprendre à pardonner ceux qui nous ont rejetés et, bien plus, on peut prier pour ceux qui nous ont blessés. Mais c’est une histoire de relation profonde avec Celui qui peut nous en donner la force et la conviction.

 

 

 

      La guérison intérieure :

Je crois en la puissance de la Parole de Dieu, c’est certain. A côté de cela, il ne faut pas dénigrer le besoin de guérison du cœur. Parfois, un verset nous guérit instantanément ; parfois, c’est un plus long chemin et dans ce temps de guérison, on va encore osciller entre nos réactions habituelles et la nouvelle attitude de cœur. La première guérison à vivre à mon avis est la véritable prise de conscience de notre identité en Christ.

« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5.17). Il faut parfois du temps pour s’approprier la dernière partie du verset, mais c’est une réalité.

De bons messages sur l’identité en Christ sont en ligne sur www.topchretien.com .

 

 

 

      La volonté de pardonner :

 

 

 

Il existe toute sorte de méthode pour apprendre à pardonner. J’en donne une sur mon blog intitulée « les étapes du pardon ».Deux choses essentielles à savoir :

1.      Le pardon n’est pas une question d’émotions ou de sentiments : c’est une question de décision ! Commençons dès aujourd’hui à dire que nous pardonnons à xxx (nom) pour ce qu’il a fait (précisément). La Paix viendra.

2.      Le pardon ne veut pas dire tout accepter dans le présent, ni tolérer le péché d’autrui sur nos vies. Le pardon permet d’effacer l’ardoise, de remettre la personne à la Justice de Dieu. Mais si la personne recommence à faire du mal, il faut prendre position et ne plus accepter ses actes contre nous.

 

 

 

      La soumission volontaire à Dieu :

 

 

 

Soumission ? brrrrr. Pas toujours facile à accepter ce terme hein ? Pour ma part, j’en ai fait les frais lourdement dans ma vie. Puis un jour, grâce à l’aide d’un ami, j’ai compris ce que Dieu entendait par soumission.

 

 

 

Soumission : Se mettre sous. Elémentaire mon cher Watson. Une image me venait toujours à propos de la soumission :

 

 

 

Une grande main pesante qui pressait sur ma vie : tu dois, il te faut ! Une grande main d’interdictions dont la liste me décourageait d’avance…

 

 

 

Mais je crois maintenant sincèrement que la soumission est autre chose :

 

 

 

Un grand parapluie sous lequel on peut s’abriter de la pluie du rejet! Dieu dit dans la Bible  :

 

 

 

«  Il y aura un abri pour donner de l’ombre contre la chaleur du jour, pour servir de refuge et d’asile contre l’orage et la pluie » Esaïe 4,6

« Tu as été un refuge pour le faible, un refuge pour le malheureux dans la détresse, un abri contre la tempête, un ombrage contre la chaleur » Esaïe 25,4.

 

 

 

« Dieu est mon rocher où je trouve un abri, mon bouclier et la force qui me sauve, ma haute retraite et mon refuge. Oh mon sauveur, tu me garantis de la violence » (2 Samuel 2 :3)

 

 

 

De nombreux versets bibliques parle du refuge et de l’abri en Dieu si on se met sous son autorité (Par exemple: Deutéronome 33,27 ; Psaume 7,1 ; Psaume 11,1 ;Psaume 16,1, Psaume 17,7, Psaume 25,20 ;Psaume 31.1 ; Esdras 9,8 ; Psaume 10,6 ; Psaume 18,2 ; Psaume 27,5 ; Psaume 31,20, Psaume 91.1 ;etc)

 

 

 

Se soumettre à Dieu volontairement implique d’abord et avant tout de comprendre l’amour de Dieu pour nous. "Dieu a tant aimé le monde (et chacun de nous) qu'Il a donné Son fils unique afin que quiconque croit en Lui ne meurt pas, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3:16) Puis c’est par amour en retour pour lui que nous choisissons de nous abriter sous son autorité juste. Dans Sa parole, il nous transmet toute une série de bons conseils pour rester sous son abri afin d’être protégé sous son autorité. L’ancien testament, par exemple le livre des Proverbes est plein de conseils pratiques, accompagnés de promesses. Mais le Nouveau Testament n’est pas avare non plus de conseils pour s’approcher de Dieu avec assurance « parce que notre cœur ne nous condamne pas » (1 Jean 3,21).

 

 

 

Personnellement, j’en ai fait l’expérience : lorsque je me soumets à Dieu, je peux m’approcher de Lui dans la prière avec une incroyable assurance, Lui demander ce que je veux et être exaucée, avoir de la patience et de la persévérance, être renouvelée dans mes forces jour après jour… Ca vaut la peine de découvrir la vraie soumission volontaire à Dieu, promis !

 

 

 

Essayons ces clés et voyons les changements immédiats et progressifs dans nos vies ! c’est garanti ! par Celui qui nous a ouvert la voie à la pleine acceptation de notre identité : Jésus-Christ.

Par GLAD - Publié dans : Quelques pistes de réflexion sur les chemins possi

 

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